Chaparri, les sept ours de la montagne sacrée
Est- ce la fin des usines de bile d’ours ou maisons de l’horreur ?
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On peut faire des rencontres interessantes sur facebook. C'est ainsi que j'ai croisé le chemin d' un jeune photographe passionné et passionnant qui a accepté de témoigner sur mon site, ce dont je le remercie vivement. Son enthousiasme est communicatif et la qualité de ses photos lui promet un avenir tout tracé. Son intérêt pour les ours polaires fait qu'il a tout à fait sa place parmi ma galerie de photographes professionnels ou non.
Les photos qui illustrent son témoignage ont été prises au Spitzberg.
Je m'appelle Vincent Chopard, j'ai 24 ans et réside dans le canton de Genève en Suisse.
J'ai commencé un apprentissage de vendeur informatique en 2005 et ceci durant 3 ans.
En 2008, je me suis retrouvé à parler de certains centres d'intérêt avec une connaissance, Alexandre Deschaumes, et de sa passion pour la photographie que j'ignorai totalement. Dès que j'ai eu posé mes yeux sur son travail j'ai été totalement dépaysé par la qualité de ses photos et c'est de là qu'à commencé mon ascension sans fin pour la photographie. Depuis, ces galeries me suivent en permanence et c'est un photographe que je respecte tout autant que son magnifique travail.
© Vincent Chopard
En janvier 2008, j'ai investi dans mon tout premier réflex chez le géant jaune (Nikon). Un Nikon D80 qui me suivait partout. Que ce soit en cours, en soirée, en promenade... partout. C'était un 2ème ami si l'on veut. Puisque je démarrais dans ce domaine, je ne savais pas tellement par quoi commencer, ni dans quel domaine me lancer. Alors j'ai cherché, photographié, comparé, réessayé, encore et encore jusqu'à que je puisse trouver mon élément final. J'ai, depuis le début évolué seul dans cet apprentissage, je me suis plongé dans les livres et j'ai expérimenté au maximum.
© Vincent Chopard
Depuis tout petit, je suis un passionné de la faune. Les animaux représentent une des seules bases vivantes qui ne trahissent rien. L'animal est propre à lui même et fidèle à son instinct. Il n'est traitre qu'envers l'homme.
A l'âge de 15-16 ans, j'ai eu la chance, l'honneur de rencontrer et de travailler pour un homme d'exception, Mr. Pierre Challandes, qui lui aussi se bat pour la protection de la faune. Il a construit un parc, avec ses propres moyens et ceux des donateurs. Une lutte sans fin, qui m'a appris beaucoup de choses sur moi même comme la patience, le partage, l'aide et le soutien.
© Vincent Chopard
Depuis que je tente au mieux d'assimiler le charme et l’élégance de l'animal à travers la photographie, mon travail se dirige essentiellement dans ce contexte. J'ai refait mon matériel à neuf, et me suis muni depuis d'un Nikon D700, plus un téléobjectif 200-400mm de la même marque.
© Vincent Chopard
L'année passée, nous avons eu la chance, mon père et moi, de nous rendre dans le grand Nord lors d'une expédition sur le "Plancius". C'est un lieu que je ne connaissais absolument pas.
Depuis mon retour , je ne cesse de penser, de réfléchir à tout ce que l'on a vu. La beauté de ces plaines, de ces glaciers et de la sérénité qui y règne.
© Vincent Chopard
Un de mes rêves était de pouvoir observer ces rois des glaces, les ours polaires. A ce moment là, je n'ai pas fait qu'observer leur beauté, mais j'ai aussi pris conscience de leur détresse. Et ce phénomène m'a beaucoup touché, tout au long de l'expédition.
© Vincent Chopard
Les photos que j'ai eu l'occasion de ramener me servent de souvenirs, certes, mais je tente également au mieux de pouvoir faire prendre conscience aux gens que le problème est grave et que le danger futur pour cet endroit l'est tout autant.
© Vincent Chopard
L'ours polaire est devenu dès lors une admiration pour moi et ce que je sais, c'est que je n'attends que le moment de pouvoir y retourner car si il y a une chose de sûre, c'est que je m'y sens bien...et libre.
Ce que j'ai pu remarquer en me rendant au Spitzberg, c'est que l'ours en lui même ne fait pas uniquement partie des animaux qui y vivent. J'ai eu plus l'impression que cet animal est un élément en lui même et que sans lui, l'Arctique n'est plus rien. C'est pour cela que je le surnomme le "roi des glaces".
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